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Personne ne se souvient de ce fou rire, sur un toit d’immeuble en 1956 à Tokyo. Pourtant, à l’époque, les femmes japonaises n’avaient pas le droit de rire en public. Même le photographe, traumatisé par Hiroshima, refuse d’évoquer le passé. En créant des échos à cette énigme avec sa famille et ses amis, l’artiste danoise Ditte Lyngkaer Pedersen fait fructifier la trace d’un mystère par son éternel retour : peu importe que l’événement soit oublié, sa dynamique solaire, elle, continue.



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© Kenji Omori, 1956


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Toutes les images : © Ditte Lyngkaer sauf l’image de une – visitez son site : http://www.dittelyngkaerpedersen.com