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Revue Web | 31.10.13

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Une sélection d’articles pour vous ouvrir quelques perspectives, et ce, tous les matins.

Expérience de photojournaliste : Ammar Abd Rabbo en Syrie

Ammar Abd Rabbo témoigne de la condition de photojournaliste en Syrie sur le site de Courrier International. Ce reporter qui part sur ses propres frais en Syrie souligne les nombreuses dérives médiatiques dues à des manipulations par le régime syrien : « La Syrie est une guerre médiatique. »

À lire sur :

courrierinternational.com

De la collection d’art numérique

Vous avez toujours voulu collectionner des œuvres d’art contemporain mais vous êtes fâché avec votre conseiller bancaire ? Désormais, vous pouvez acquérir une photographie de Noritoshi Hirakawa pour 6 € ou du collectif AES+F pour 60 €, en version digitale haute définition, avec un certificat d’authenticité. Un peu plus cher, « Le théâtre d’ombres », de Christian Boltanski, est proposé à 120 €. Les œuvres sont téléchargeables à partir de n’importe quel appareil équipé d’une connexion internet : ordinateur, tablette, téléphone, télévision.

À lire sur :

www.seditionart.com

Un nouveau festival au Royaume Uni

Un nouveau festival photographique se crée à Sunderland, au nord du Royaume Uni. La première édition se tient jusqu’au 16 novembre au NGCA (National Gallery for Contemporary Art) et au musée de Sunderland. La programmation 2013 présente des artistes comme Simon Roberts, Suart Whipps, Marjolaine Ryley, John Kippin, et rassemble des tirages aussi bien que des installations artistiques.

À lire sur :

bjp-online.com

Hossein Farmani : « Beaucoup d’organisations françaises pensent être les maîtres de la photographie »

…ou comment résumer une interview en une seule phrase.
Hossein Farmani est le créateur du International VUE, des Lucie Awards, du MOPLA (Month of Photography in Los Angeles) et raconte dans une interview avec Manik Katyal, rédactrice en chef de EMAHO ses perspectives d’évolutions internationales dans la photographie. Si la création d’une galerie et le développement d’un marché photographique à Bangkok sont dans ses projets, il répond notamment à une critique qui lui est souvent adressée de « peopliser » la photographie avec ses évènements type « tapis rouge » : « Beaucoup d’organisations françaises pensent être les maîtres de la photographie, mais au final nous ne faisons que mettre en lumière des photographes qui n’ont jamais été reconnus par le grand public. Je ne fais pas la promotion de la photographie pour les photographes. Mon but est de véritablement démocratiser la photographie. »

À lire sur :

emahomagazine.com


Capture d’écran du site www.seditionart.com

Portrait Hossein Farmani

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